Visite
de la ville de BRUGES OU (BRUGGE)
la venise du Nord
Le
musée Gruuthuse, le
musée Groeninge, le
Béguinage, le
musée de la dentelle,
l'hôpital
Saint Jean, le
musée de la bière, le
grand séminaire, le
stationnement à Bruges,
plan
de Bruges, quelques légendes
et un diaporama
Informations sur la Ville de Bruges
Au nord de la Flandres, Bruges (ou
Brugge en Flamand) se dévoile aux touristes, comme une ville
où le temps n'a pas laissé de marques, mais des traces
d'un passé qui fût glorieux jusqu'au XIVème siècle.
De ses maisons
aux toits crénelés et à la brique rouge, qui se
mirent élégament dans les eaux des canaux, on a plutôt
l'impression de voir une dentelle de pierre se dessinant sur un ciel
tantôt bleu, tantôt gris. Ses rues pavées, où
claquent les pas flâneurs des touristes, ceux des chevaux qui
vous promèneront en calèche à travers la ville,et
vous guident vers les merveilles et les richesses de la ville. Quant
aux bruggeois, ils sont tout simplement sympathiques et accueillants.
Alors, pourquoi ne pas y faire une halte quelques jours, voir même
le temps d'un week-end romantique et culturel...
Nous vous proposons un résumé
de quelques musées de la ville de Bruges. Bien sur il y en a
d'autres
et nous ne les avons pas tous visités.....mais cette ville est
tellement attachante que nous y reviendrons.
Le
Beffroi
Attention ! 366 marches pour y accéder
! mais quel plaisir une fois au sommet. Sans com
pter que l'on a le
temps de prendre son souffle à chaque étage. La trésorerie
qui se trouve au premier étage, était le lieu où
l'on gardait les documents officiels jusqu'au XIIIème siècle.
On pourra y voir des coffres en bois avec des ferrures du XVIIème,
cachés derrière des portes en ferronnerie remarquables.
Mais si ces documents étaient bien gardés dans ces "coffre-fort"
du moyen-âge, ils ne l'étaient pas
du feu ! et un violent incendie eu un jour raison de ce fabuleux trésor
de papier. L'on pourra d'ailleurs remarquer une trompe d'incendie
du XIXème siècle. Le deuxième
étage offre une vue imprenable sur Brugge. Au troisième
étage, on fait la connaissance d'une énorme cloche.
Le quatrième, nous dévoile le mystère du mécanisme
de ce carillon DUMERY (1742-1748), aux 47 cloches et aux 28 tonnes.
Le cinquième et dernier étage accueille des touristes
épuisés mais heureux d'y être arrivés,
c'est l'ensemble des cloches qui joue au dessus de nos têtes
avec à l'horizon, une vue imprenable
sur les toits de la ville. Ça méritait bien un gros
effort !
Concert de carillon
Tous les dimanches à
14h15.
D'octobre à mi-juin : le mercredi et le samedi à 14h15.
De mi-juin à fin septembre : le lundi, le mercredi et le samedi
à 21h. haut
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Le
musée Gruuthuse
Le
palais des seigneurs de Gruuthuse date du XVème siècle.
Les collections et objets que l'on découvre de salle en salle
sont tout simplement sublimes. C'est ainsi que dans la salle d'honneur
faisant face à une monumentale cheminée du XIXème,
l'on admire les tapisseries représentant l'histoire d'un couple
de bergers Gombaut et Macée. Ces tapisseries du XVIIème
sont en laine et soie, elles contiennent les couleurs représentatives
du style brugeois, à savoir le rouge et le jaune. Les autres
salles, au nombre de 22, y compris la salle d'honneur, nous dévoilent
tout à tour, une statue de Charles Quint de 1520 en terre cuite
polychromée, une cheminée aux armoiries du même
Charles, du XVIème siècle en pierre naturelle, du
mobilier en bois de chêne de style gothique, un prie-Dieu du moyen-âge
(pièce pratiquement unique). Ou bien encore, cette reconstitution
d'une cuisine, avec ses terres cuites des XVII et XVIIIème, ses
faïences et son énorme chaudron pour l'eau chaude. Une petite
pièce est consacrée à la médecine avec ses
mortiers en pierre et en bronze, puis une vitrine avec des pots à
onguents des XVI et XVIIIème. A l'étage c'est d'abord
une chambre XVIIIème puis une belle collection d'argenterie avec
notamment une jarre et son couvercle en argent (pièce extrêmement
rare à trouver). Nous découvrirons aussi
une salle consacrée au commerce et à la monnaie, car il
faut savoir que c'est à Brugge que fût fondée la
première bourse, car la ville fût un centre commercial
européen extrêmement important. Nous y verrons des pièces
de monnaie du moyen-âge, des poids et mesures en bronze du XVIIème,
des balances pliables avec leurs poids, des tirelires du
XIVème et des poids à fermoir remarquables dont le plus
ancien est du XVIème siècle. La salle suivante sera de
style baroque puis nous accèderons à un petit salon XVIIIème
aux cheminées en faïence Louis XV. Autre pièce intéressante,
celle des artisans et des corporations avec cette plaque à emblèmes,
en cuivre rouge, allant de 1567 à 1636, comportant 186 noms d'orfèvres
avec leurs poinçons. Et puis, arrive
la salle de musique, jolie pièce mansardée, avec un clavecin
de 1624, une épinette en très bon état de 1591,
un piano de table de 1742 et multitudes d'autres instruments plus remarquables
les uns que les autres par leur
magnifique état de conservation. La salle des arts religieux
quant à elle, possède une belle tapisserie du XVIIème
"La bienveillance de Rébecca" et une sculpture sur
bois de 1420 très réaliste "La Madone assise avec
l'enfant Jésus". Faisant
suite, la chapelle fin gothique, qui est reliée directement à
l'église Notre-Dame. On traverse ensuite une loggia d'où
l'on peut voir la rivière Rieie, qui traverse Brugge et qui lui
donne son nom de "Venise du Nord". A sa suite, une salle avec
des poteries, des porcelaines chinoises et des faïences
très rares de Torhaut des XVIII et XIXème. La dernière
salle relève de la justice et des armes, boulets, canons du XVème,
pistolets, glaives de justice des XV et XVIème et pour finir
une guillotine du XVIIIème. Voilà comment s'achève
la visite du musée Gruuthuse, mais votre billet vous donne le
droit d'entrée à l'église Notre-Dame où
le clou de la visite est bien évidemment la "Madonne à
l'enfant" (1504-1505), de Michel-Ange, en marbre de Carrare, prévue
au départ pour la cathédrale de Sienne, mais finallement
achetée par une famille brugeoise. Elle est ainsi une des rares
oeuvres du Michel-Ange à ne pas ête en Italie, et les brugeois
en sont très fiers.
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Le
musée Groeninge
Six siècles de peinture
flamande ont élu domicile dans ce musée qui vous séduit
dès la première salle franchie avec la merveilleuse
"Vierge au chanoine" 1436 de Jan Van Eyck (1390-1441),
dont la grande maîtrise de la peinture à l'huile, fait
de ses tableaux, des oeuvres d'art d'exception. Cette "Vierge
au chanoine", dont le cadre est d'origine, est du primitif flamand,
riche en détail, en couleur et en lumière, elle est
infiniment réaliste et l'on a bien du mal à en détacher
les yeux. Autres oeuvres intéressantes, le "Saint Luc
dessinant la Vierge" de Rogier Van Der Weyden, copie du XV et
XVIème, l'original étant au musée de Boston,
ou bien encore, cette "Mort de la Vierge" 1470, de Hugo
Van Der Goes. A voir également les 2 beaux panneaux de bois,
représentant la Piéta avec une "Vierge et un Christ
en douleur" de Simon Marmion vraiment remarquable, sans compter
sur les très beaux volets de bois, racontant
la légende de Sainte Ursule de 1482. On notera aussi une magnifique
grisaille (tons gris et bruns) appelée "L'annonciation"
de Hans Memling, du XVème siècle.
Il
est à noter que toutes ces peintures sont sur bois et non sur
toile comme cela était habituel, par exemple en France. Le principe
de la peinture sur bois, consistait en fait à poncer le bois
et à le recouvrir de craie de façon à avoir un
support blanc et lisse et donc d'obtenir, une fois la peinture sur le
bois, une merveilleuse luminosité. Et croyez-moi, tous les tableaux
que renfermait ce musée étaient franchement admirables.
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Le
Béguinage
A
proximité du fameux Lac d'Amour, le béguinage nous accueille
dans son cadre de verdure sur lequel les façades blanches des
maisons des béguines, tranchent étrangement, donnant
à la fois une sensation de paix et un air un peu mystérieux.
Mais qui étaient donc ces béguines, remplacées
aujourd'hui par des religieuses. C'était en fait des femmes
veuves ou célibataires qui se consacraient aux autres. Une
seule maison est aujourd'hui visitable, elle date de XVIIème
siècle et comporte une cuisime flamande
avec un vieux poêle "Louvain", une cheminée
gothique avec des carreaux de Delft de 1500, des poteries anciennes
et
une chaufferette qu'utilisaient les béguines l'hiver, durant
les offices. La salle à manger a une belle vitrine avec des
porcelaines napoléonnienne, de Bruxelles et de Tournai. Une
autre vitrine contient des dentelles de Brugge. L'on verra également
une drôle d'armoire appelée "Schapraai", à
3 étages, dont une planche servait de table pour les repas.
Voir également au dessus de la cheminée un beau tableau
du XVIème, "Ronde de jeune fille". Le salon possède
de beaux meubles typiques, comme une table renaissance, une presse
à linge de 1644, une armoire à croisillon
et des chaises béguinales en poirier. Au dessus de la cheminée
un tableau de Bloemaert "La Vierge au 7 douleurs" et au
dessus de la porte une
tête de Christ en cire de 1428. Il nous faudra ensuite traverser
le petit cloître avec son puit, à l'allure monastique,
où le silence et la prière étaient de mise, pour
accéder à la chambre avec son lit à baldaquin,
son rouet et un intéressant tableau montrant l'habit caractéristique
béguinal. Le ticket de visite vous donne également le
droit à l'entrée de l'église juste à côté.
L'église est petite, sombre, (et que le touriste ne l'oublie
pas) reste un lieu de prière, vous y croiserez d'ailleurs quelques
religieuses.
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Le
musée de la dentelle
C'est
le touriste qui a fait de la dentelle de Bruges ce qu'elle est aujourd'hui,
à savoir mondialement connue et prisée. Elle fait son
apparition dans la ville au XVème siècle. Le déclin
de Bruges est alors amorcé et pour gagner de quoi vivre, les
dentellières vont se mettre au travail. La dentelle ne va pas
se faire un nom à ce moment là. Elle est alors vendue
à d'autres villes qui, elles, sont extrêmement réputées
pour leurs dentelles, puisqu'elles en habillent les plus grandes cours
de l'époque, c'est à dire la dentelle de Valenciennes
et de Malines. C'est seulement au siècle dernier, que le touriste,
séduit par tant de finesse, va en faire
une dentelle de renom. Tous les après-midi, il est possible
de voir les dentellières au travail, on est vite silencieux
devant la dextérité de ces mains et de ces doigts qui
dansent entre les fuseaux. Le fil employé aujourd'hui est le
coton, quelque fois le lin. La partie musée est composée
de plusieurs vitrines avec des dentelles des XVII, XVIII et XIXème
sicèles. On remarquera ainsi la dentelle noire de Chantilly,
la fine dentelle des Flandres et la dentelle de Valenciennes. Le billet
d'entrée donne également le droit à la visite
de l'église de Jérusalem, tout à côté.
Dès l'entrée on est quelque peu surpris par le cadre
peu ordinaire. L'église et son architecture
étonne un peu, elle n'en est pas moins intéressante
quant on sait qu'elle a été bâtie suivant les
plans du Saint Sépulcre et mérite que l'on s'y arrête.
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L'hôpital
Saint Jean
Nous
sommes ici dans l'un des plus ancien hôpital médiéval
d'Europe, où sont exposés des objets, voir même
quelques fois, des trésors, évoquant la vie de l'hôpital
au moyen-âge. Rien que l'architecture intérieure, avec
ses briques et ses poutres, saisit déjà le visiteur
dès son entrée et le tableau de Beerblock du XVIIIème
siècle, évoque dans le détail, la vie de cet
hôpital et de ses protagonistes. Il est à noter que le
musée met à disposition
des bornes intéractives, invitant ainsi le curieux, à
voyager dans ce lieu en lui donnant à chaque fois, une source
d'informations précieuses. Que dire des objets exposés,
sinon qu'ils sont tous plus intéressants les uns que les autres.
On découvre tour à tour des livres, registres, courriers
et sceaux divers, une série d'instruments de soins, de la vaiselle,
des reliquaires dont celui de Sainte Ursule et de Sainte Appolonie
du XVIIème, de belles statues de bois, des dalles funéraires,
un habit de religieuse (porté jusqu'en 1965) et bien sûr,
de nombreux tableaux dont beaucoup de Hans Memling comme cet "Homme
de douleurs" entouré des instruments
de la passion et sur lequel on peut trouver énormément
de détail. Ou bien encore ce tryptique anonyme du XVIème,
dont il ne reste que deux panneaux et relatant la légende de
la Sainte Croix. Et c'est ainsi que de tableaux en tableaux, de trésors
en trésors, nous allons arriver devant les portes de l'église
de l'hôpital
qui fût séparée au XIXème siècle.
Celle -ci renferme la châsse de Sainte Ursule de Hans Memling
(1489) et le retable du même artiste représentant la
Madone entourées de saints, les volets extérieurs représentent
les frères et soeurs de l'hôpital et leurs saints patrons.
En entrant à gauche de l'église, voir la chapelle Corneille
avec son tabernacle en pierre et ce portrait de Memling "La Sibylle
Sambetha" de 1480. Ainsi va s'achever notre visite, le grenier
et le cloître étant fermés au public, le jour
de notre venue.
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Le
musée de la bière 31
brasseries étaient en activité à Bruges au début
du XVème siècle. Le musée 'T hamerken se compose
de 3
étages. Le premier nous montre une vitrine avec des instruments
de laboratoire et des appareils de mesure qui proviennent des anciennes
brasseries de la ville. Au deuxième, c'est un schéma
qui explique l'élaboration de la bière et plusieurs
matériels de production sont exposés. Le troisième
étage, est celui où l'on rencontrera le plus de monde,
c'est la brasserie où vous sera servi une bière, incluse
dans le prix du billet d'entrée. Mais nous avons remarqué
que beaucoup de visiteurs trichés, montant directement au troisième
étage et dédaignant ce petit musée pourtant fort
intéressant !
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Le
grand séminaire
Ancienne abbaye des Dunes (1128),
il est construit par les moines cisterciens au XVIIIème siècle.
D'abord c'est
le coeur de l'église que l'on traverse pour accéder
au grand cloître où les moines aimaient à y méditer.
Celui-ci communique avec toutes les pièces de ce séminaire,
mais aussi avec le jardin intérieur et ses plantes symboliques.
En se promenant dans ce cloître aux dimensions impressionnantes
et d'une grande pureté architecturale, on arrive à la
grande sacristie, à la salle capitulaire avec les 24 portraits
des abbés des Dunes, au parloir du prieur avec ses 17 grisailles
datant de 1480, au calefactorium où les moines pouvaient venir
se réchauffer grâce aux cheminées gigantesques
du XVIIème et enfin le réfectoire. Toutes
ces pièces se suivent donc mais n'offrent pas un intérêt
particulier, si ce n'est cette dernière pièce pour laquelle
nous sommes venus et qui expose une véritable bibliothèque
médiévale où 107 manuscrits vont ouvrir leurs
pages sous nos yeux éblouis. Astronomie, mathématiques,
bibles, livres d'heures, bréviaires ou encore manuscrits philosophiques
sont réunis ici pour notre plus grand plaisir, à condition
bien évidemment d'aimer "le livre". Ces manuscrits
aux enluminures si fraîches sont les éléments
essentiels de cette visite qui sans eux n'aurait, comme nous l'avons
dit, pas grand intérêt. Mais ce qui est le plus dommage,
c'est que ces merveilleux trésors de papier n'étaient
réunis que pour célébrer Bruges élue capitale
européenne et n'étaient donc visibles que jusqu'au 17
novembre 2002. Il n'empêche que 8€ était franchement
cher payer pour l'ensemble de la visite, c'est peut être pour
cela que c'est l'endroit de Bruges où l'on a trouvé
le moins de monde !
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Les
légendes
Lac
d'Amour : il était une fois, un jeune homme et une
jeune fille, fous amoureux, mais tel Roméo et Juliette, leur
amour était impossible. Par dépit, tristesse et peut
être aussi colère devant tant d'incompréhension,
ils décidèrent de mettre fin à leur vie en se
jetant dans les eaux noires et profondes du lac. Unis à tout
jamais, mais dans un autre monde, certains prétendent qu'ils
hantent encore les eaux froides du lac et que, si l'on veut qu'un
souhait s'exauce, il suffit d'y jeter une petite pièce pour
le voir se réaliser...
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Les cygnes
: Maximilien, Empereur du Royaume romain, fût nommé,
après la mort de sa femme, régent du Comté
de Flandres. Toujours en quête d'argent pour financer ses guerres,
il s'adressa à la ville de Bruges. Les brugeois récalcitrants,
le firent prisonnier et l'enfermèrent dans la maison Craenenburg
qui est située sur la Grand-Place. On y organisa alors une
grande fête où Maximilien fût forcé d'assister
à la décapitation de son fidèle ami Pieter Lanchals.
Cela ne plus guère à l'Empereur qui après avoir
fait de vagues promesses qu'il ne tint pas, obligea la ville, en tant
que punition pour avoir exécuter Pieter Lanchals (Lanchals
veut dire long cou), à tenir à jamais des oiseaux à
long cou. D'où la présence de cygnes sur les canaux
de Bruges à tout jamais...
De
là nous prenons le bateau pour découvrir les canaux (durée 1/2 heure)
qui nous permet de prendre quelques belles photos. Pour les plus romantiques,
il y a la ballade en calèche, (qui n'emprunte pas les canaux !!).
Toute la diversité de cette petite
ville est que vous pourrez également flâner tranquillement dans les
rues piétonnes et acheter quelques chocolats.
Réservez
une soirée pour dîner dans un de ces restaurants sur la grand-place
pour déguster les fameuses moules frites tout en écoutant le son du
carillon provenant du beffroi. haut
de page
Bon
à savoir:
Stationnement il est payant
dans pratiquement toutes les rues du centre:
Bien sûr il y a les parc-metres de (9heures à
19 heures) tous les jours y compris le dimanche:
Il y a les
parkings officiels:
les tarifs varient selon leur emplacement
Il faut savoir que pour les parkings
les plus éloignés, sur présentation du ticket,
une navette gratuite vous conduira au centre ville. haut de page
Vous avez besoin de plus d'informations sur la ville de Bruges Brugge, contactez: info@itinerairesbis.com
Trucs et astuces :
Si vous souhaitez
loger à l'hôtel, prévoir avant le départ, cest moins galère !
Mais savoir qu'ils sont assez chers.
www.itinerairesbis.com,
vous remercie pour votre visite